Laurent Colomb                              

 
 

 

Akasafaradal

Théâtrographie

Akasafaradal I Manuscrit


Le mot possède intrinsèquement un son. Celui-ci placé habituellement au second plan se voit attribuer, au cours de mon écriture, une fonction similaire à celle du sens. C’est dans la croissance commune de ces deux “langages” que s’inscrit Akasafaradal, d’où l’appellation Polylogue qui sous-titre cette partition pour un acteur, composée autant de signes graphiques que de signes vocaux. Une transcription didascalique, située en fin de recueil, traduit ces derniers.


Extrait

Scène